C'est la grande affaire ! On attend des décisions
de la part des dirigeants, et des efforts coordonnés de tous les peuples de
la terre.
Les grands pollueurs sont connus. On a indentifié depuis longtemps les
causes essentielles de la pollution sur lesquelles les hommes peuvent agir
encore. Mais les grands pollueurs qui voient un intérêt à court terme pour
ne rien entreprendre d'efficace, culpabilisent les populations sans changer
les grandes orientations qui détermineront un avenir moins incertain.
3-La pollution pourrait bien nous tuer tous
.
Décidément, la lutte contre le pourissement de la planète et le sort de ses
habitants, va bien mal.
Le 5 novembre 2019, les Etats-Unis qui sont les premiers producteurs de gaz à
effet de serre, ont notifié à l'ONU, comme promis, leur sortie de l'accord de
Paris décidé en 2017.
Pour le Président Trump, cet accord est horrible, coûteux et unilatéral
selon se proptres mots.
"Unilatéral" selon lui veut dire que ce n'est pas dans l'intérêt du peuple
américain.
Le président Trump qui est un champion du capitalisme cynique, pense que tout
ce qui n'est pas de l'intérêt direct et unique du peuple américain est sans
intérêt pour le monde et pour lui.
Son pays est selon lui « de très loin le premier producteur d'énergie au
monde ». Son charbon est « beau et propre »
Toute comparaison est mal venue, mais on pourrait dire qu'en cette matière, le
président des EU pense et agirait souvent s'il le pouvait vraiment, comme un
dictateur ayant le commandement du monde ! Bien entendu, les autres pays
n'auraient pas le droit de faire ce qu'il décide pour le monde.
Dans sa logique, le capitalisme a besoin de faire argent de tout. Si on change
les choses pour réduire les activités polluantes, on diminuera le profit ;
cela, il ne peut le supporter. La recherche d'une activité industrielle moins
polluante, sera un "fardeau économique injuste imposé aux travailleurs,
entreprises et contribuables américains", selon son secrétaire d'état.
Nous en sommes là donc, et tant que ce président aura le pouvoir aux
Etats-Unis, et tant que les autres pays du monde ne tenteront rien pour faire
baisser cette prétention de prendre en charge le destin des peuples de la
terre, nous sommes bien mal partis.
Mais soyons optimistes : Le président Trump est un mauvais alea de l'histoire
d'un grand peuple.
Il est certain qu'il traîne encore au sein de cette
population un reste de ce qui a été souvent ce qui est encore dans la
conscience collective mondiale "La grande Amérique". Elle renaîtra assurément,
et avec plus de dignité !